Bad Luck Witch (Boku to Majo no Jikan au Japon) est un shonen initialement publié aux éditions Shueisha, et qui s'est terminée en six tomes. L'intrigue se focalise sur Enji Tsuzuri, un jeune lycéen accro à l'horoscope. Aujourd'hui, les prédictions s'avèrent très bonnes, et il est indiqué que même s'il était renversé par une voiture, il reviendrait à la vie. Il décide donc de chercher l'amour au détour d'un carrefour, mais au lieu de percuter une fille, c'est un 33 tonnes qui lui passe dessus. A son réveil dans un étrange laboratoire, Enji est pourtant toujours en vie, mais beaucoup de choses semblent avoir changé. Non seulement, ses cheveux sont devenus blancs et ses yeux rouges, mais il ne parvient pas à être blessé par quoi que ce soit.  Une étrange jeune fille désire l'interroger, Hakuu, qu'on appelle la sorcière. Elle lui apprend qu'elle a transféré son cerveau, la seule partie épargnée par l'accident, dans un autre corps, pensé préalablement pour abriter un monstre.

Ayant à présent une dette envers Hakuu, Enji devient en quelque sorte son homme à tout faire.  Il va devoir l'aider à capturer les Clis (Creatures Left in Secret), les êtres vivants qu'on doit cacher au monde extérieur. Très rapidement, il rencontre une autre élève équipée d'un pouvoir de psycho-kinésie, Marie Mizuta. Plus tard, le proviseur du lycée confiera à Enji et ses amis de nettoyer une ancienne bâtisse de l'école, aujourd'hui abandonnée. L'occasion d'en apprendre plus sur l'organisation des Clis et leurs rapports avec les humains. Cette "expérience" n'a en tout cas pas effrayé Naitô et Susutake, les camarades d'Enji, qui l'ont maintenant rejoint chez Hakuu. Leur mission du jour ? Trouver de l'argent pour le bar. Ils sont donc chargés de recouvrir les dettes que différentes personnes ont contracté à Hakku. Tout se déroule à peu près bien jusqu'au dernier débiteur, un ... mangaka ! Contre toute-attente, l'équipe va décider d'aider l'auteur à terminer son nouvel ouvrage, mais Tsuzuri n'est pas du tout doué pour l'exercice manuel ...