Kiruru Kill Me est une série toujours en cours de parution au Japon et qui a connu cinq tomes à ce jour aux éditions Shueisha. Aoi Nemo est un riche homme d'affaires dont le visage est apparu sur tous les magazines, et sa tête est mise à prix. Akaumi Kiruru, une tueuse aussi meurtrière que belle, vient la chercher. Mais la personne qui a commandité le coup était Aoi lui-même ! A partir du moment où il a posé les yeux sur elle, Aoi est tombé amoureux de cette femme fatale, et il fera tout pour passer plus de temps avec elle : quitte à risquer sa propre vie. Jusqu'à présent, il a réussi à survivre à tous leurs « rendez-vous » mortels et son béguin n'a fait que s'intensifier. Mais avec une si grosse récompense en jeu, ce n'est qu'une question de temps avant que d'autres tueurs ne se joignent à la chasse ! Et pour ne rien arranger, bien évidemment Kiruru ne sait pas que son employeur pour cette mission est Nemo lui-même !

Le bras de fer avec la société d'assassinat pour la vie d'un enfant prend une tournure inquiétante, sans mort mais avec des blessures graves. L'histoire est surtout un gag une fois que tout cela est réglé. Cependant, l'incident susmentionné a conduit l'ennemi à s'enticher de Nemo ! Par ailleurs, une actrice nommée Nana se présente peu après pour un tournage commercial. Ce dernier, en particulier, est devenu un problème qui pourrait tuer Nemo avant Kiruru. Kiruru est également si fragile émotionnellement qu'elle ne peut plus être un assassin. Le raisonnement derrière "il est difficile de le tuer" devient également de plus en plus difficile à expliquer. Il est clair qu'elle a développé des sentiments particuliers pour Nemo. Néanmoins, le dialogue entre Kiruru et Sukesei (rires), qui joue le rôle d'assistant, est intéressant, et il y a une forte scène de bain au milieu de l'histoire. L'ombre d'un autre développement inquiétant a vacillé dans la dernière partie, le prochain volume est donc un peu inquiétant ? L'histoire est peut-être destinée à approfondir l'organisation de la société d'assassinat, mais il est un peu exagéré de dépeindre sérieusement le côté sombre de ce qui était à la base une comédie.