Blue Lock est une série toujours en cours de parution au Japon et qui a connu quatorze tomes à ce jour aux éditions Kodansha. Il n'en restera qu'un ! Qui survivra à l'enfer de Blue Lock ? Avec l'élimination du Japon de la Coupe du monde 2018, la fédération japonaise de football décide de créer un programme dans lequel elle trouve de jeunes athlètes prometteurs et les prépare pour la Coupe du monde 2022. Isagi Yoichi, un attaquant, reçoit une invitation à participer à ce programme, juste après que son équipe ait perdu la chance d'intégrer l'équipe nationale à cause de lui, qui au moment décisif a passé le ballon à un coéquipier moins expérimenté au lieu d'essayer de tirer lui-même. L'entraîneur du programme sera Ego Jinpachi, dont l'objectif est de "détruire le football des perdants japonais" grâce à une méthode révolutionnaire : isoler 300 jeunes attaquants prometteurs dans un établissement semblable à une prison, appelé "Blue Lock", et les soumettre à un entraînement rigoureux pour créer "le meilleur attaquant du monde et le plus égoïste".

Les joueurs de l'équipe Z ont réussi à franchir la première sélection mais beaucoup gardent la tête froide puisque le plus dur les attend ! Ils vont devoir faire face chacun leur tour au "Blue Lock Man" qui garde les buts de leur deuxième épreuve. En cas de succès, les heureux élus devront participer à des matchs d'un nouveau type et aux règles ahurissantes les attendent au cours de la troisième sélection. On monte encore d’un cran avec ce tome six ! La pression se ressent comme si le lecteur était sur le terrain avec les footballeurs ! Isagi doit faire face à lui-même dans cette nouvelle épreuve, il s’améliore, très vite même et paf ! Il y a toujours ce tacle qui lui remet les idées en place et qui lui montre qu’il doit progresser. La compétition va monter d’un cran avec cette troisième épreuve ! L’esprit shonen s'avère tellement léger dans ce titre, l’individualité y est pour beaucoup . Isagi commence à voir rouge et ça promet d’envoyer dans le prochain tome ! Les dessins sont toujours aussi magnifiques et les personnages ont cette badassitude en eux, c’est incroyable !