Kaiju n°8 (Kaiju No. 8) est une série toujours en cours de parution au Japon et qui a connu sept tomes à ce jour aux éditions Shueisha. Des monstres grotesques ressemblant à Godzilla appelés "kaiju" font leur apparition au Japon depuis de nombreuses années. Pour combattre ces bêtes, une unité militaire d'élite connue sous le nom de Corps de défense risque quotidiennement sa vie pour protéger les civils. Une fois qu'une créature est tuée, les « balayeurs » – travaillant sous la direction de la Professional Kaijuu Cleaner Corporation – sont laissés pour compte de ses restes. Kafka Hibino est un membre de 32 ans de la Professional Kaiju Cleanup Corp. Kafka était également ami d'enfance avec Mina Ashiro avec qui il a fait le vœu de rejoindre les Forces de défense ensemble et de protéger le Japon de Kaiju. Cependant, Kafka a échoué à plusieurs reprises à l'examen d'entrée et a abandonné son rêve de devenir membre des Forces de défense tandis que Mina est devenu le capitaine de la 3e division des Forces de défense. À la suite d'une chaîne d'événements malheureux et d'une interaction avec une recrue ambitieuse nommée Leno Ichikawa, Kafka rencontre un kaiju de type parasite qui se fraie un chemin par sa bouche, le transformant en un monstre humanoïde. Avec ses nouveaux pouvoirs, Kafka vise à donner une dernière chance à son rêve de toujours.

Ce tome cinq débute avec la suite du combat entre Kafka et le père de Kikoru, le directeur Isao Shinomiya, dans un affrontement très intense. "Deux Kaiju numérotés s’affrontent dans un face-à-face fracassant qui transcende le temps !" On peut dire qu’ils font des gros dégâts effectivement. Kafka a beaucoup à faire, il doit prouver qu’il arrive à contrôler le kaiju qui est en lui et qu’il est avant tout humain. Et ça sera dans la première unité des forces de défense, considérée comme l’unité la plus puissante. L’arrivée d'un nouveau personnage, le Général Narumi, le chef de la première unité, ne passe pas inaperçu. Il est très puissant, il possède une forte personnalité et c’est un geek qui veut découper Kafka pour l'utiliser comme arme (comme ce qui était arrivé au Kaiju n°2). Les combats s’enchainent, le tome se lit plutôt rapidement, les dessins sont comme d’habitude incroyables, ils décrivent l’intensité des combats.  Pas de temps de répit pour les forces de défense, les Kaiju reviennent en force pour atteindre leur objectif ... jusqu'à ce qu'une nouvelle énigme les interpelle. Comment peut-il y avoir des répliques d'un Kaiju numéroté ?!