Après avoir vaincu l'esprit malveillant de son frère décédé depuis longtemps et échappé à la terreur d'une ville possédée par la folie du Chapelier fou, Calie et sa fille Violet disparaissent dans la ville de Los Angeles dans l'espoir d'échapper à l'emprise du Pays des Merveilles qui ne cesse de s'étendre. Mais le duo apprend vite que peu importe où elles courent ou où elles se cachent, le Pays des Merveilles les retrouvera ! Contient les chapitres 6 à 10.

L'histoire est centrée sur Calie Little (la fille d'Alice) et Violet Little (la fille de Calie). Pour rappel, Alice est introuvable dans cette série car elle se déroule longtemps après sa mort (suicide). Calie et Violet sont constamment en fuite pour échapper à tous les cauchemars que le Pays des Merveilles leur envoie. Cependant, ce mode de vie a fait des ravages chez la mère et la fille, les laissant dans la crainte de pratiquement tout ce qui s'approche d'elles ou de "quiconque" qui s'approche d'elles. Sur l'une des nombreuses aires de repos temporaires de Calie et Violet, Violet rencontre une autre adolescente nommée Harmony. Les deux s'entendent bien, ce qui donne à Calie l'occasion de baisser sa garde quand il s'agit de la sécurité de Violet. A cause des nombreuses années passées à vivre dans un état constant de fuite, la psyché de Violet est en train de s'effondrer, peut-être même plus que ce que Wonderland pourrait faire pour elle. Un soir, Violet et Harmony glissent quelque chose dans la nourriture de Calie et sortent en cachette pour une soirée en ville. Elles sont rapidement entraînées dans le monde souterrain des boîtes de nuit et rencontrent une nouvelle drogue de synthèse très mortelle. Pendant ce temps, au Pays des Merveilles, une bataille pour le pouvoir et le contrôle semble inévitable, avec un mystérieux portail qui pourrait être un acteur clé. Encore une fois, ce n'est pas un Pays des Merveilles pour les enfants. Il y a encore moins de vêtements que dans le premier tome, mais il y a peut-être un peu moins de violence et de gore... peut-être, mais juste un peu. Les couleurs sont magnifiques, en particulier sur les portraits pleine page et les couvertures.