Wayne Shelton tome 12 : No return Plate-forme : Bande Dessinée Date de sortie : 28 Novembre 2014 Editeur : Développeur : Genre : Bande dessinée Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0078/10 Dessin : Christian Denayer Après l'Argentine, les aventures de Wayne Shelton changent radicalement de cap pour nous entraîner en Iran. En effet, l'IRS (International Revenue Service), l'agence du gouvernement des États-Unis qui collecte l'impôt sur le revenu et les taxes diverses, se rappelle à son bon souvenir. Impossible d'étaler ses dettes compte tenu du passif du personnage ! L'administration américaine lui propose alors deux choix : Soit subir une longue peine de prison, soit accepter une dangereuse mission et une récompense potentielle d'un million de dollars. Shelton n'a pas vraiment le temps d'hésiter que le voici en Iran, où il devra exfiltrer l'épouse d'un physicien de renom, responsable du programme nucléaire du pays. Pour ne rien arranger, un jeu de dupes se met rapidement en place, et les forces en présence ne vont pas vraiment aider Shelton dans sa tâche. Une lutte intestine entre services secrets américains et Mossad israélien se profile, avec de multiples rebondissements. Wayne Shelton a beau traquer les franches crapules sans se poser de questions, il reste au fond de lui un idéaliste qui tente, tant bien que mal, de s’adapter au monde dans lequel il vit. Cependant il ne faut pas non plus trop le chercher, car il sait se servir de son revolver et il risque de se montrer utile car la situation est plus confuse qu'escomptée. Comme à l'accoutumée, les dessins sont fins et les couleurs très réussis. Le scénario est également très convaincant, et sans doute le meilleur depuis la reprise de la série par Van Hamme. Un très bon tome sans aucun doute ! VERDICT-Une nouvelle aventure de Wayne Shelton fort réussie. Les dessins sont toujours d'une grande finesse, le scénario s'avère digne des meilleurs films d'espionnage et apporte un certain changement d'ambiance à la série. Une nouvelle jeunesse pourrait-on dire. |