Mao est une série toujours en cours de parution au Japon et qui a connu dix-huit tomes à ce jour aux éditions Shogakukan. Huit ans plus tôt, Nanoka Kiba, une lycéenne, était proche de la mort à cause de circonstances surnaturelles. Dans le présent, un jour elle se retrouve dans des événements dangereux, mais cette fois elle est sauvée par le mystérieux Mao, un jeune homme apparemment d'une autre dimension. L'histoire se déroule dans un «pays où deux mondes se croisent» et se concentre sur «une étrange histoire d'amour entre un garçon et une fille qui se rencontrent par le destin».

Nanoka progresse en contrôlant son épée, Akanemaru, mais lorsque la vie de Mao est en jeu, cela suffira-t-il ? Ensuite, nos amis se retrouvent entre deux sœurs jalouses. Ne savent-ils pas qu'il est dangereux de s'immiscer dans une dispute domestique ? En plus, un câlin ambigu puis un rendez-vous non officiel... aux bains publics ?! Dans ce tome quatorze, le cœur de Mao change lorsqu'elle il pense à Nanoka. Le groupe reçoit une demande d'exorcisme et se dirige vers une maison abandonnée qui a été maudite. Après l'incident, les sentiments de Mao et Nanoka changent ! ? Pendant ce temps, Kagari, la fille d'un créateur de malédictions, commence à travailler dans les coulisses. Qu'arrivera-t-il à la fille qui se consacre à la sorcellerie ? Dans ce volume, après avoir aidé Mao, Nahana réalise à quel point Mao est important pour elle. Mao entend les paroles de Nanoka, qui peuvent presque être qualifiées de confession,. Après une bataille acharnée, c'est d'autant plus satisfaisant. Si c'était Inuyasha ou Ranma, ce serait probablement gênant, mais Mao est très intelligent, l'invitant à prendre le thé et la complimentant sur sa beauté. Y aura-t-il plus de flirt dans le prochain tome ?  Le talent de Rumiko Takahashi, y compris son choix d'expressions verbales, est remarquable. Nahana maîtrise progressivement sa force, bien qu'elle demeure encore la plus faible de tous les protagonistes en jeu, et l'épisode sur Kagari, une utilisatrice d'aiguilles maudite de la famille Mikuri (qui apparaît sur la couverture de ce numéro), commence à être raconté.  Durant l’ère Taisho (1912-1926), il y avait beaucoup de divertissements et il était facile de sortir avec quelqu’un.