Si je suis la vilaine, autant mater le boss final tome 2 Plate-forme : Bande Dessinée Date de sortie : 09 Décembre 2022 Editeur : Développeur : Genre : Bande dessinée Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0078/10 Par Anko Yuzu Si je suis la vilaine, autant mater le boss final (Akuyaku Reijo nano de Last Boss wo Kattemimashita) est une série en trois tomes publiée au Japon aux éditions Kodansha. Aileen a parfois le plus mauvais timing, comme lorsqu'elle souhaite avoir réalisé plus tôt qu'elle s'est réincarnée dans un jeu d'otome auquel elle a joué dans une vie antérieure, et non pas au moment où son fiancé Cédric la largue pour l'héroïne du jeu ! Aileen est d'autant plus fâchée qu'elle n'a pas fait tout ce qu'on lui reproche, comme intimider la nouvelle fiancée de Cédric, Lilia, et qu'elle doit maintenant assurer son propre avenir avant que le "jeu" ne se termine dans trois mois. Aileen se souvient d'une autre partie du jeu : vous ne pouvez pas terminer cette romance lors de la première partie, mais lors de la seconde, vous pouvez essayer de rompre avec le frère aîné de Cédric, le roi démon Claude, et ainsi éviter qu'il se transforme en dragon géant et détruise le pays. Donc, pour le bien de tous, Aileen change de vitesse et s'attaque plutôt au boss final ! Ce deuxième volume poursuit la quête d'Aileen pour prendre en charge sa nouvelle vie. De nouveaux visages arrivent au château du Prince Claude, le Roi Démon. La plupart d'entre eux sont là pour aider à redonner à l'endroit sa gloire d'antan et quelques-uns, qu'Aileen connaissait déjà, ont des talents et des relations particulières, comme Issac, ancien camarade de classe et marchand, et Jasper, journaliste et ancienne connaissance. Il y a même l'architecte et le médecin avec qui elle a travaillé auparavant sur des projets qui ont amélioré les terres où ils vivaient, des projets dont le prince héritier s'est attribué le mérite ou qu'il a fait dérailler. En s'ajoutant à la distribution, ces nouveaux noms et visages contribuent à améliorer non seulement le château où vit Claude, mais aussi les terres où les démons sont forcés de résider. Aileen avait un clapier que Claude veut toujours avoir un lien avec les humains et ce n'est que le début pour aider à dissiper les horribles rumeurs à son sujet et à réparer l'endroit où il vit. Les nouveaux employés, en particulier les personnages nommés, connaissent tous Aileen et savent à quel point elle est brillante et motivée. Ils se mettent également au travail pour aider à fabriquer des produits afin d'augmenter les revenus de ce nouvel endroit et faire du travail de bureau, comme ils le faisaient sous la direction d'Aileen avant qu'elle ne soit dénoncée comme une méchante noble et qu'on lui arrache son titre de fiancée du prince héritier. Il était si intriguant de voir toutes ces pièces mobiles se réunir et une nouvelle vie être insufflée au domaine de Claude. Si vous avez aimé la variété de démons et de créatures qui ont fait des apparitions avec leurs personnalités hilarantes dans le premier volume, ils font un retour dans ce volume, même s'ils passent au second plan par rapport aux personnages humains. La principale mission d'Alieen a été de survivre, mais le monde autrefois froid commence à devenir plus gentil avec elle. Elle trouve des alliés, un système de soutien et, oserais-je dire, du plaisir ? Ce volume nous montre les motivations cachées de quelques personnages dont celui qui est pressé qu'il est le personnage principal. L'équipe créative fait en sorte que ce soit un manga à relire en attendant le prochain volume. VERDICT-Aileen travaille pour plus que sa survie et son bonheur maintenant. Le fait qu'elle voit l'humanité en Claude alors que la plupart des gens ne veulent pas ou n'ont pas eu l'occasion de le faire est un excellent développement de leur caractère à tous les deux. L'agencement des femmes dans ce genre d'Isekai varie d'une série à l'autre, mais avec chaque volume de Si je suis la vilaine, autant mater le boss final continue d'élever la barre. Pour tous ceux qui ont oublié de se procurer le premier volume ou qui en ont entendu parler et qui hésitent, voici le signe qu'il faut se procurer un exemplaire. |