The Kingdoms of Ruin (Hametsu no Oukoku) est un manga toujours en cours de parution au Japon et qui a connu huit tomes à ce jour aux éditions Mag Garden. L'humanité a longtemps vécu en harmonie avec les sorcières, mais une révolution scientifique avancée a rendu les pouvoirs d'une sorcière inutiles. Succombant au ressentiment et à la peur, la plus grande nation du monde entame une chasse aux sorcières brutale et élimine toutes les sorcières du pays. Après avoir été forcé de regarder son professeur bien-aimé mourir, Adonis, un apprenti sorcier, jure de se venger de l'empire qui lui a tout pris. C'est une bataille sanglante entre la science et la magie dans cette nouvelle série manga palpitante !

Shirousagi (Le Lapin Blanc), le pire des assassins, apparaît soudainement. Acculés par les forces combinées de la science, Adonis et Doroka mettent tout en œuvre pour se faire confiance. Du compagnonnage à la collusion, en passant par la lutte commune. Pour vivre, pour protéger, pour résister au désespoir, la magie des garçons et des filles se déchaîne pour percer les cieux. Voici le sixième volume dans lequel le protagoniste Adonis et la sorcière Doroka s'engagent dans une bataille majeure avec le plus mortel des poursuivants, le cyborg Shirousagi vitreux et à dreadlocks. C'est ce qui se passe tout au long de ce tome. Les scènes douloureuses risquent d'être nombreuses pour ceux qui n'ont pas de tolérance ! Le pouce du cyborg s'enfonce dans le globe oculaire de la sorcière Doroka. Puis, pour arrêter l'hémorragie, elle est frappée par des flammes à l'endroit où se trouvaient ses yeux. Enfin, les deux personnages principaux sont envahis par l'ennemi d'une violence écrasante. Si vous avez déjà lu jusqu'ici, ça peut aller, mais si ce n'est pas le cas, soyez prévenus. Cela pourrait être traumatisant ! Et puis finalement, la magie d'amour de Doroka est enfin activée ! La magie des plumes d'arbalète d'Adonis ? C'est la dernière étape que vous pouvez voir. Le livre est passé en un éclair, mais ce n'est pas qu'il n'y a que quelques pages, c'est sans doute parce que le contenu était très riche. Comme d'habitude, il y a quelques descriptions grotesques, mais à la fois la haute qualité de l'œuvre d'art et le développement de l'histoire sont satisfaisants.