A Certain Magical Index (Toaru Majutsu no Kinsho Mokuroku) est l'adaptation d'une light novel écrite par Kazuma Kamachi et illustrée par Kiyotaka Haimura. Ce manga comporte actuellement vingt-huit tomes au Japon aux éditions Square Enix, et est toujours en cours de parution. Le héros principal de l'histoire, Tôma, a le pouvoir d'annuler tout pouvoir surnaturel, appelé l'"Imagine Breaker", rien qu'en touchant une personne avec sa main droite. Mais dans la Cité Académique, la ville fourmillante d'étudiants en sciences occultes où il vit, cette capacité ne lui attire aucune estime. Comble de l'ironie, à chaque fois qu'il utilise son pouvoir, une terrible malchance s'acharne sur lui. Un jour pourtant, il va faire la rencontre d'une nonne de l'Église d'Anglicane, Index, qui est poursuivie par l'organisation de la Kaballe parce qu'elle a mémorisé une connaissance interdite de 103.000 volumes de magie. Alors que Stiyl Magnus et Kanzaki Kaori veulent effacer la mémoire d'Index uniquement pour son bien, Tôma intervient et cherche un moyen de la sauver. L'Église d'Anglicane a en effet placé un sceau dans le corps d'Index pour préserver les grimoires et un système de défense anti-vol vient d'être activé.

Toma et Index montent à bord de l'avion après avoir appris soudainement qu'ils se rendent en Angleterre. Alors qu'Index est rassurée en attendant son repas, une mystérieuse personne projette de détourner l'avion à bord duquel ils embarquent. Ce sera la conclusion de la bataille d'Acqua de l'Arrière. Il est intéressant que Kamisaki décide de se battre aux côtés d'Amakusa Shiki. De plus, Toma sauvant Amakusa Shiki est impressionnant. Même si Toma n'a pas de dialogue, il y a un fort sentiment de soulagement dû à son apparition. L'épilogue est d'une drôlerie qui fait chaud au cœur. Enfin, Fiamma (le meneur du Siège à la Droite de Dieu) fait également son apparition, mais la bonne volonté du Pape qui a continué à protéger les croyants même s'ils étaient à leur merci est également un point culminant. Et dans la partie britannique, la terreur d'ouverture de Tsuchimikado et l'incident sont intéressants. Itsuwa a une faible estime de soi, mais encore une fois, la capacité d'analyse de Tsuchimikado, qui souligne avec précision sa «force», ne peut être sous-estimée. Les dessins sont toujours aussi beaux, et la fin d'Acqua est particulièrement puissante. Les expressions s'améliorent de plus en plus, et nous attendons chaque volume avec impatience.