Cela fait maintenant trois ans que les dinosaures se sont échappés de leurs enclos et ont détruit le parc à thème et complexe de luxe Jurassic World. Isla Nublar a été abandonnée par les humains alors que les dinosaures survivants sont livrés à eux-mêmes dans la jungle. Lorsqu'un volcan est sur le point d'entrer en éruption à Nublar, les plus grands spécialistes du monde se réunissent afin de déterminer s'il faut sauver les dinosaures qui y vivent ou les laisser périr. Claire Dearing a la ferme intention de les protéger et, avec une équipe qui a à cœur le bien des animaux, elle se rend sur l'île pour sauver les différentes espèces de l'extinction. Owen Grady, qui a développé un lien spécial avec le Velociraptor Blue, fait partie du voyage ...

Contrairement au premier Jurassic World qui manquait solidement de punch, celui ci bénéficie d'une mise en scène redoutablement efficace. Les scénaristes ont porté un gros effort a l'action au détriment d'un scénario certes efficace mais calqué sur ceux des épisodes précédents. Les situations sont toutes plus abracadabrantes les unes que les autres mais l'intensité qui en dégage est captivante. Et pour cause, l'action est enrichie de surprises qui rendent l'issue de certaines situations moins évidentes que prévues. Un des points forts du film est la scène d'introduction musclée qui nous plonge dans l'ambiance immédiatement. Autre point fort, le nouveau dinosaure créé par les laboratoires ingen qui surpasse de loin l'indominus Rex de l'épisode précédent. Le nouveau indoraptor est terrifiant et vicieux à souhait et trouve toute sa dimension épique à travers une chasse à l'homme en huit clos stressante et digne de Resident Evil. Les références au premier Jurassic Parc sont bien placées, quant aux acteurs, ils n'en font pas trop et lancent des répliques drôles et bien placées avec juste ce qu'il faut en émotions.