Valhallian The Black Iron (Kurogane no Valhallan) est une série en six tomes publiée au Japon aux éditions Shueisha. Tetsujiro Soma est un valeureux samouraï ayant repoussé l'invasion du Japon par les mongols. Mais loin d'être récompensé pour ses faits d'armes, il vit dans la misère avec Takemaru, son jeune fils malade. Alors qu'il s'assoupit aux côtés de son fils, Tetsujiro se réveille nu et désarmé dans un lieu inconnu ! Et il y est seul... où est son fils ? Pire encore, il se fait attaquer... par des légionnaires romains ! Il est alors sauvé par Hrist, une valkyrie. Tetsujiro apprend alors que c'est elle qui l'a invoqué au Valhalla, l'endroit où sont amenés les valeureux guerriers défunts, pour mener une révolte ! Tetsujiro veut avant tout retrouver son fils mais pour cela, il va d'abord devoir suivre Hrist et se battre contre d'illustres guerriers invoqués eux aussi au Valhalla.

Après avoir terminé sa bataille mortelle avec Spartacus, Tetsujiro retrouve le Nora-dan. Avec l'ajout de nouveaux amis, le groupe entre rapidement au quartier général de l'armée romaine. Devant eux, leur ennemi juré Kara apparaît. De plus, un homme mystérieux portant un masque de corbeau surgit. Dans ce tome quatre, Romulus, le roi fondateur de Rome, est apparu. C'était une petite indigestion que l'histoire se termine sans une véritable bataille avec l'ennemi. Il n'y a pas beaucoup de nouveautés, mais c'est classique et agréable. Dans la première zone du Valhalla on a vue les Romains, les Mongols et d'autres combattants. Là ils arrivent à l'étage supérieur où on découvre les Vikings qui se battent contre l'armée de Napoléon. Le prochain nouveau chapitre est-il un monde différent ? L'histoire ressemble vraiment à un jeu social. Espérons que la prochaine fois nous verrons un peu plus le choc des idéologies et des personnalités. Les séries de magazines jeunesse choisissent très mal d'annuler des ouvrages comme celui-ci, qui sont intéressants mais où l'auteur semble avoir mal jugé le rythme au point culminant, et qui ne peuvent être aidés que si un éditeur est aux commandes. A cet égard, l'auteur a un a fait ses preuves avec des œuvres précédentes et a déjà été suffisamment sérialisé pour lui laisser le bénéfice du doute.