The Dark Saint (Kurotonbi no Seija ~Tsuihou sareta Kaifuku Jutsushi wa, Ariamaru Maryoku de Yami Mahou wo Kiwameru~) est une série conclue en trois tomes au Japon aux éditions Overlap. Russel est un garçon qui rêve de devenir un héros et qui travaille dur depuis son enfance. Cependant, le métier que lui a donné la déesse est la profession la plus élevée, la magie de récupération (Saint). Il forme un groupe avec ses trois amis d'enfance et part à l'aventure, mais ils apprennent tous la magie de soin et Russel, qui ne peut utiliser que ce type de magie, est banni du groupe car jugé initule. Il rentre chez lui déçu, mais ce qui l'attend, c'est une rencontre avec une mystérieuse beauté nommée Sybilla qui lui propose d'obtenir la force qu'il souhaite. Russel se retrouve dans une situation désespérée dans un nouveau donjon. Grâce à l'infinie puissance magique qui sommeille en lui et aux conseils de Sibylla, il obtient le pouvoir le plus puissant. L'histoire héroïque d'un "Saint" exilé qui s'élève pour devenir le plus fort commence !

Après être retourné au village d'Adria et avoir préparé son équipement, Le [Saint] Russel défie à nouveau le donjon avec Sibylla, la déesse des ténèbres, avec un esprit renouvelé. Ils vainquent le boss de l'étage avec une force écrasante, mais peu de temps après, le "Seigneur démon" apparaît. Une confrontation directe avec le Seigneur démon commence enfin afin de protéger leur précieuse place ! Les capacités de Russel explosent et les deux camps sont contraints de se battre jusqu'au bout. Le troisième acte de l'histoire héroïque d'un [Saint] exilé devenant le plus fort peut débuter. Le volume se déroule essentiellement dans la conquête d'un donjon et cela s'est terminé avant même que nous arrivions à la partie cathartique familière de la série sur l'exil, « se montrer devant vos anciens amis », et nous n'avons rien appris sur les personnages suspects. Cela ne serait pas un problème en soi si ce volume trois n'était déjà pas le finl de la série. La qualité des illustrations est élevée, l'histoire est bonne, et il semble qu'elle va devenir plus excitante, alors pourquoi la terminer comme cela ? Nous avons l'impression que ce volume a été forcé de se terminer dans la précipitation. C'est du gâchis car c'était une bonne œuvre.