Ce premier tome de Leviathan est initialement sorti aux États-Unis sous le titre "Superman - Action Comics Vol. 2: Leviathan Rising" et comporte les numéros Action Comics #1007-1011 ainsi que Superman: Leviathan Rising. Brian Michael Bendis et l'artiste Steve Epting ont tout mis en place pour l'événement Leviathan avec une grande construction dans ce volume. L'univers de DC est un endroit dangereux. Et pour chaque super-héros qui s'élève dans le ciel ou super-vilain qui traque dans les rues, il existe une organisation secrète qui mène une guerre sous la surface. Checkmate. Spyral. A.R.G.U.S. Le D.E.O. Task Force X. Certaines de ces agences clandestines et sociétés secrètes sont bonnes. D'autres sont mauvaises. D'autres opèrent dans des nuances de gris. Aujourd'hui, une à une, elles sont démantelées par la conspiration la plus redoutable de toutes : LEVIATHAN. Ce réseau tentaculaire d'agents inarrêtables a déjà combattu Batman jusqu'à l'arrêt. Aujourd'hui, Leviathan est de retour, et un nouveau chef encore plus meurtrier est apparu à sa tête. Des génies comme Amanda Waller, Talia al Ghul et le général Sam Lane tombent devant les légions de Léviathan. Les journalistes sans peur Jimmy Olsen et Lois Lane luttent pour révéler la vérité. Seul l'Homme d'acier fait obstacle. Mais contre un ennemi qui est partout et nulle part à la fois, comment même Superman peut-il survivre ?

L'histoire semble sortir de nulle part plutôt que de construire à partir du dernier arc. Soudain, un nouveau groupe, Leviathan, émerge en attaquant des sectes et des organisations d'espionnage à travers le monde. Superman et Lois enquêtent et, en cours de route,  Superman semble porter l'équivalent kryptonien de blackface pendant qu'il passe sous couverture. Le livre se termine par le one-shot Leviathan Rising qui semble résoudre l'histoire et se rattache à sa propre série limitée manquante ici. Le dessin est assez étonnant de prime abord, les personnages semblent trop réels / réalistes plutôt que comme les héros et les super-héros de bande dessinée qu'ils sont. En outre, Jimmy Olson ressemble constamment à un petit enfant, plutôt qu'à un photojournaliste célèbre (et probablement adulte). Cela dit, l'art du one-shot est meilleur.