Platinum End tome 14 Plate-forme : Bande Dessinée Date de sortie : 07 Juillet 2021 Editeur : Développeur : Genre : Bande dessinée Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0077/10 Scénario : Tsugumi Ohba Platinum End est une série qui a connu un total de quatorze tomes aux éditions Shueisha. L'histoire raconte la rencontre entre un ange et un humain, et se focalise sur Mirai Kakehashi, un adolescent qui n'a plus d'espoir dans la vie. Depuis la disparition de ses parents, il fut recueilli chez son oncle et sa tante qui n'ont jamais été tendre avec lui. Alors qu'il tente de se suicider en se jetant du haut d'un immeuble, un ange appelé Nase le rattrape au vol et lui offre une nouvelle chance. Elle lui donne alors la possibilité d'obtenir de puissants pouvoirs, à savoir voler dans les airs grâce de puissantes ailes ou bien disposer d'une flèche rendant amoureux pendant 33 jours. En acceptant, Mirai découvre qu'il n'est qu'un pion sur l'échiquier d'un jeu malsain : Une compétition mortelle dont l'issue sera de prendre la place de Dieu en personne. Après Death Note et Bakuman, voici donc la nouvelle série du tandem Takeshi Obata/Tsugumi Ohba. Les éléments se mettent en place progressivement au cours de premiers chapitres et permettent de faire connaissance avec les treize candidats choisis et de découvrir les règles de base du Platinum End. Chaque protagoniste est aidé par un ange dont les capacités s'avèrent plus ou moins importantes (il existe une hiérarchie dans cette société également). Forcément, ce genre de binôme n'est pas sans rappeler Death Note, sauf qu'ici les anges prennent littéralement part aux affrontements dans ce jeu de la mort nouvelle génération ... VERDICT-Platinum End marque le retour d'un duo très apprécié des amateurs de manga. Dans ce tome quatorze, nous avons l'impression que la série tente de discuter de nombreux thèmes intéressants et importants, mais donne une réponse très juvénile et immature à tous ces sujets. La séquence de fin est graphiquement incroyable et montre tout le talent d'Obata, mais elle est textuellement insatisfaisante. |