Black Bullet est une série en quatre tomes, initialement parue aux éditions ASCII Media Works au Japon. Dans un futur proche, l'humanité a été décimée par Gastrae, un virus parasite. Les survivants ont été exilés sur un petit territoire et vivent désormais dans la terreur et le désespoir. Rentarô Satomi, un jeune homme vivant près de Tokyo, est un membre de la sécurité civile, une organisation qui lutte contre la prolifération du virus. Sa partenaire se nomme Enju Haira, une jeune fille précoce. Ils se battent en utilisant leurs pouvoirs particuliers jusqu'à ce qu'ils reçoivent un jour une assignation spéciale du gouvernement. Cette mission top secrète est d'empêcher la destruction de Tokyo. Rien que ça.

Ce tome 2 débute à vive allure avec l'irruption de Kagetane Hiruko, fossoyeur de l'humanité, au sein du ministère de la Défense. Et on ne peut pas dire que le super-vilain face dans la dentelle. Outre les révélations sur son passé et ses funestes desseins, le récit explore également les origines nébuleuses des enfants hybrides et leur statut à part dans la société. L'action ne manquera pas, avec quelques duels contre des Gastraes, et un cliffhanger très intrigants. La mise en scène rappelle quelque peu Darker than Black (Ki-oon), et le dessin s'améliore de plus en plus, avec un trait dynamique et un très bon encrage.