Raphaël Balthazar (Tomer Sisley) est le médecin légiste le plus doué de sa génération : lui seul sait comment faire parler les morts. De plus, le fait de "parler aux cadavres" n'est pas une simple formule, car des projections mentales visualisées sont régulièrement montrées, ce qui aide les spectateurs à comprendre l'affaire. Balthazar a du tempérament et est tout sauf sociable. Il n'est soumis à aucune norme ou convention, ce qui le rend aussi fascinant qu'épuisant. La nouvelle recrue du commissariat, le capitaine Hélène Bach (Hélène de Fougerolles), apprend rapidement à connaître son caractère autoritaire et arrogant, ce qui permet à ce duo improbable de s'affronter régulièrement au cours de leurs enquêtes. Malgré tout, Hélène apprécie les qualités professionnelles de Balthazar. Ensemble, ils sont confrontés à des cas de meurtres complexes et troublants : du meurtre brutal d'un couple de juges à la découverte glaçante d'un camion, en passant par un meurtre sanglant dans un cinéma parisien. En outre, Raphaël tente de son propre chef de retrouver l'assassin d'une personne qui lui est très proche.

L'image de la série n'a rien à envier aux autres. Le spectateur bénéficie ici d'une bonne netteté, qui fait rarement paraître l'image un peu molle. Le contraste est également bien réussi, ce qui permet de distinguer de nombreux détails même dans les scènes les plus sombres. Les couleurs sont restituées de manière naturelle, nous n'avons pas détecté de bruit ou d'autres défauts. Le son est tout aussi réussi que l'image, on n'y trouve ni aigus ni graves importants. La piste sonore française est en stéréo 2.0, les voix des acteurs sont toujours bien audibles, elles sont restituées proprement à l'avant. Ici aussi, nous n'avons pas trouvé de défauts, c'est pourquoi nous sommes globalement satisfaits de l'aspect technique.